Découvert, petite, pour son goût, je l'ai redécouvert il y a sept ans, donc en 2002 pour ses capacités à nous aider dans la vie de tous les jours!



Contrairement au vinaigre d'alcool, ce sont ses vertus thérapeuthiques qui sont bénéfiques!!!!!

Il nous permet de disposer rapidement de ses éléments nutritifs, un trésor à avoir dans sa cuisine/pharmacie!

Ne pas oublier de l'acheter bio, si vous connaissez des producteurs, surtout ne vous en privez pas!!!!

Alors du côté de ses vertus, les voici

1. Contre la constipation : héééé oui, pour ceux et celles qui ont quelques diffcultés, il peut vraiment aider, puisqu'il est riche en fibre! Son goût doux et rafraichissant nous permet de le boire sans faire la grimace! Une bonne cuillière à soupe dans un verre d'eau et zou glouglou, avant le coucher!!!!!
2. Excellent lors de grandes chaleurs, où il est bien connu que nous ne buvons pas assez! En 2002, me trouvant du côté de Carpentras, je ne vous fais pas de dessin, il faisait torride, je prenais un petit verre de vinaigre de cidre dans une bouteille d'eau, et je la buvais sur ma journée, malgré des ballades, exposition au soleil, je n'ai ressenti aucun problème!
3. Il est très bien pour nous aider à digérer, il absorberait le trop d'acide de l'estomac (bu pendant le repas), et pour ceux qui comme moi digèrent lentement, le vinaigre de cidre est un bon ami!!!!!
4. Il est super aussi au niveau intestinal, diminuant les spasmes et leurs conséquences......... et surtout il participe à la renaissance dela flore intestinale, à ne pas oublier après les antibiotiques..........
5. Il semblerait qu'il parvienne aussi à diminuer les infections urinaires, en en prenant tous les jours!
6. Pour ceux et celles qui ont  trop de cholestérol, il aurait des particularités identiques à celles des pommes, et faciliterait aussi la digestion des sucres.

Les acides gras «trans» résultent de l’hydrogénation ou de la saturation artificielle des graisses, ce qui se produit par chauffage et ajout d’hydrogène à des huiles végétales. L’objectif de cette transformation est d’obtenir un produit tartinable à base de graisses végétales, qui s’oxydera en outre moins rapidement et qui pourra donc être conservé plus longtemps. Les margarines et les huiles partiellement hydrogénées utilisées pour la confection de biscuits, crackers et autres produits contiennent par conséquent de ces acides gras «trans».

Tout comme les acides gras saturés, les acides «trans» ont la propriété de faire augmenter le taux de «mauvais» cholestérol (LDL-cholestérol) et, par conséquent, de cholestérol total dans le sang. Cette augmentation est toutefois plus faible de moitié que celle que provoqueraient les graisses saturées, surtout présentes dans des produits à base de graisses animales comme le beurre. En ce qui concerne leur effet sur le «bon» cholestérol (HDL-cholestérol), on ne dispose encore d’aucune certitude.

Certains chercheurs craignent que, comme les acides gras «trans» ne sont apparus dans notre alimentation que récemment, suite aux progrès des processus de préparation industriels, l’organisme ne dispose pas de la capacité de transformer des quantités importantes de ces structures des graisses. Par conséquent, ils seraient potentiellement susceptibles de causer davantage de dommages que les acides gras saturés. Les acides gras saturés font en effet partie de nos habitudes alimentaires depuis toujours, puisqu’ils sont présents en abondance dans la nature, dans les produits d’origine animale. Les acides gras «trans», au contraire, ne se retrouvent qu’en quantités limitées dans les produits naturels.

Certaines études suggèrent qu’une teneur élevée en cholestérol alimentaire, provenant notamment des acides gras «trans», serait susceptible d’augmenter le risque de cancer du poumon et du pancréas.

Une consommation abondante d’acides gras «trans» est en outre le plus souvent l’indice d’une consommation importante de graisses totales, d’où un risque accru de développement d’obésité et, par conséquent, d’apparition d’un cancer de la muqueuse utérine (cancer de l’endomètre) et, éventuellement, après la ménopause, d’un cancer du sein et du rein.

Références bibliographiques

-American Institute for Cancer Research, Stopping Cancer before it starts, New York, 1999.
-Am-J-Clin-Nutr. ; 66 (4 suppl): 1006S-1010S, Oct.1997.
-De Greyt W.,Transvetzuren in het Belgische Voedingspatroon, Nutrinews, 2/1999.
-Kluger J., Margarine Misgivings, Time July 5, 1999.
-World Cancer Research Fund / American Institute for Cancer Research, Food, Nutrition and the prevention of Cancer: A global perspective, Washington DC, 1997.

Sites Internet

http://www.geocities.com/HotSprings/2455/transfat.html Understanding Trans Fatty Acids
http://www.benbest.com/health/transfat.html Are Trans-Fatty Acids a Health Hazard?